Chapitre II: Les grands "correspondants espagnols"
C'est après la promulgation du règlement que la puissance des empresas est à son apogée. Les Choperas (I et II) se sont divisés la France taurine et entendent bien agir aux mieux de leurs intérêts financiers. Pour le Sud-Est, profitant de ce que Ferdinand Aymé excellent organisateur de spectacles, mais piètre aficionado, Javier Choperita utilise ses achats pour Nîmes... et les sobreros se retrouvent à Béziers ou Fréjus. Les Arènes d'Arles appartiennent à Pouly qui en excellent taurin essaye de gagner de l'argent en organisant le plus correctement possible.
Quant au Sud-Ouest Manolo Chopera règne en maître : il est capable du meilleur comme du pire. Il sait ce qu'il en est, mais il faut ramener de l'argent en Guipuzcoa. C'est ainsi que certains doutes de son implication dans les arènes du soleil d'or àToulouse.
Les exceptions : Dax, Molas soumis à l'humanisation de la fiesta collabore avec une empresa espagnole ou plutôt un homme des plus honnête et savant : Jardon. Seul Vic-Fezensac reste indépendant, c'est toute la gloire Jean Arnaud et Jean Fite les patrons du club taurin Vicquois, mais ils ne tarderont à passer sous la coupe de Manolo Chopera et pire sous celle de son fils Oscar.
MCT
A suivre...
samedi 20 mars 2010
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