André "Viard Saül "(saint Paul) a trouvé son chemin de Damas, peut-être pas avec la foi mais avec une remarquable intelligence : il a compris :
- que la corrida "d'art" demande un public important , inculte et naïf de non aficionados,
- que ce public s'éclaircit car il a moins d'argent et qu'il est dépourvu du gusanillo,
- que les figuras qui veulent gouverner la fiesta à coup de toros infirmes (toros issus de la même race qui peuvent avoir des éclairs de bravoure) sont rarissimes,
- que les clients de son mensuel sont à 95 % de vrais aficionados toristas et qu'il faut bien vivre...
Bref, il a compris que pour que la corrida survive, il y a besoin de vieux grognards de l'aficion. Grâce à ça, il a recouvré la vraie "Fé di Biou".
Torear est lidiar.
MdeG
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